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NOTES du 15 mai 1915 de Robert Triger, historien
Sainte-Cécile sur Loir, Flée Notes sommaires réunies au courant de la plume pour répondre au désir de sa grandeur Monseigneur l’évêque du Mans, le 15 mai 1915, Robert Triger, historien. Note : la paroisse de Sainte-Cécile sur Loir a été l’objet, jusqu’ici, d’aucune notice spéciale. Note sur l’église et l’ancienne paroisse de Sainte Cécile. L’église de Sainte Cécile est citée pour la première fois dans l’Histoire Du Maine à la fin du XIe siècle (vers 1067), époque où elle fut donnée par Gervais de Château du Loir, en même temps que le prieuré de Saint Guingalois, à l’abbaye de Marmoutier. Deux siècles plus tard, le nom de la paroisse reparaît à l’occasion de la mort de l’évêque du Mans, Pierre le Royer, décédé en 1296 sur le territoire de Sainte-Cécile, au cours d’une visite pastorale. En 1434, l’église reçoit de noble damoiselle Hardouine de Clermont, femme de noble homme Hubert de Vendômoys, escuyer seigneur de Craonne, un legs de cinq sols de rente, pour le repos de son âme et de sa fille défunte. Peu après, en 1461, une lampe d’huile est fournie chaque an, le jour de Pâques, devant le crucifix, par la Métairie de la Guillonnière. Mais il semble qu’à cette époque l’église de Sainte Cécile ne soit pas seulement un centre de dévotion, grâce, sans doute, à sa situation dominante sur la vallée du Loir, elle est devenue pour la population de la contrée un lieu de réunion ou pour mieux dire un centre commercial. Dès 1450, les religieux de Saint Guingalois passèrent des droits de foire à Sainte-Cécile et d’un texte de 1461, il résulte nettement qu’il existe une foire importante, dite Foire de Sainte de Cécile, avec certains privilèges, au profit du seigneur de Château du Loir. Au terme d’un acte postérieur (3 mai et 12 novembre 1683), le champ de foire de 52 chesnées, joignait vers l’orient à l’église de Sainte-Cécile et au jardin de la cure, il appartenait au prieur de Château du Loir et la foire s’y tenait le jour même de la fête de Sainte-Cécile. Ça devait être une sorte de pardon, une réunion à la foi religieuse et commerciale, d’origine très ancienne, et analogue au pardon breton. Son établissement s’explique, croyons-nous, par la situation topographique et les antiques traditions qui faisaient choisir de préférence comme point de réunion les lieux élevés. Bien que la Seigneurie d’Ourne fut primitivement comprise dans la paroisse de Flée, ses possesseurs prétendaient, au XVIe siècle, que le prieur de Château du Loir leur avait cédé ses droits honorifiques sur la paroisse de Sainte-Cécile. En tout cas, un seigneur d’Ourne, Adrien de Montulais, avait été enterré dans le chœur de Sainte-Cécile, où figurait son épitaphe gravée sur cuivre en lettres gothiques, et, en 1521, une sentence des assises de Château du Loir maintenait le titre des seigneurs d’Ourne en l’église de Sainte Cécile. En 1647 seulement, une ordonnance de Monseigneur Emery de la Ferté, évêque du Mans, annexa d’une manière définitive « la maison d’Ourne » à la paroisse de Sainte-Cécile, en dépit des apparitions furieuses du curé de Flée, Monsieur Jacques du Chesne. Cette ordonnance fut le point de départ d’une lutte acharnée entre les curés de Flée et de Sainte-Cécile, lutte qui se prolongea pendant tout le XVIIe siècle, et fit naitre entre les deux paroisses une rivalité que l’époque contemporaine elle-même n’a pas fait disparaître. Surtout qu’au XVIIe siècle, les habitants de Sainte-Cécile ne se contentent pas d’avoir un curé, comme leurs voisins et adversaires de Flée : ils veulent en plus un vicaire et un instituteur ! En 1666, Renée Hureau, veuve de Marin Lecesne, lègue à leur fabrique une maison et des vignes, destinées au logement d’un vicaire « qui dira la première messe tous les dimanches et sera tenu de faire l’école pour instruire la jeunesse de la paroisse » Plus que bien d’autres, il est vrai, la paroisse de Sainte-Cécile se devait d’encourager les « belles-lettres » car elle avait donné naissance à un poète «digne d’estime» Michel Foucques, vicaire perpétuel de Saint-Martin de Tours au temps de François II. Parfois connu sous le nom bizarre de Fourque et de Phoque, Michel Foucques avait publié en 1574, Une Vie de Jésus selon les quatre saints Evangélistes, qui ne contenait pas moins de 16000 vers de six syllabes, et composé en manuscrits Les Actes des Apôtres, La vie de Notre-Dame, La vie de Saint-Martin et Les cantiques de Salomon (dédiés à Madame Catherine, dauphine de France et duchesse de Bretagne). Au dire de Monsieur Haureau, l’auteur de l’Histoire littéraire du Maine, qui en cite quelques spécimens, les vers de Michel Foucques sont corrects et faciles : « ils en valent beaucoup d’autres envers lesquels on s’est montré prodigue d’épithètes louangeuses » Au moment de la Révolution, la paroisse de Sainte-Cécile comptait environ 123 feux et 400 communians. La seigneurie qui relevait de la baronnie de Château du Loir, appartenait à Monsieur de Tresve, seigneur d’Ourne. La cure, estimée 400 livres, était à la présentation du prieur de Château Du Loir. Elle avait eu successivement pour titulaires en 1492, Mr Jean Barbe ; en 1527, Mr Jean Nail ; en1534, Mr Michel Veau; en 1683, Mr François Lesaurs; en 1684, Mr Jean Prévost; en 1792, Mr Michel etc... L’église, très modeste, se composait comme aujourd’hui, d’une nef romane, surmontée d’une flèche en ardoise et d’un chœur d’époque plus récente, à fenêtres en arc brisé. Elle était entourée d’un cimetière et possédait trois autels du XVIIIe siècle. Réduite à 450 habitants, la paroisse de Sainte-Cécile sur Loir, de tout temps comprise dans le doyenné de Château Du Loir, fut supprimée par décret du 16 mars 1807 et réunie à celle de Flée. La population, toutefois, ne prit jamais son parti de cette suppression qui l’humiliait, d’autant plus que Flée demeurait la rivale traditionnelle et s’était emparée de la cloche de Sainte Cécile ! Dès 1846, on réclame la restauration de l’église et on y étudie l’érection d’un vicariat. Ce projet n’ayant pas eu de suite on revient à la charge en 1862, à cette date, 80 habitants de Saint Cécile, dont la veuve du Général Cavaignac, ancien chef du pouvoir exécutif, devenu propriétaire du château d’Ourne, signent et adressent à Monseigneur Fillion, depuis peu évêque du Mans, la curieuse pétition suivante : « Monseigneur, Les habitants de Sainte- Cécile on l’honneur d’exposer à votre grandeur que leur commune a été réunie par décret du 16 mars 1807 à celle de Flée. Par suite, l’église a été fermée et la commune de Flée, trop pauvre pour l’entretien a dû la laisser dans l’abandon. Cet édifice a subi peu à peu les dégradations du temps et nous fûmes informés, il y a deux ans environ, qu’il était menacé d’une ruine totale. Nous ne pouvions nous résigner à voir notre église disparaître de la colline d’où elle domine tout le pays : nous avons décidé qu’elle serait restaurée à nos frais. Des dons volontaires, offerts par chacun de nous, ont produit une somme de 1000 Fr. et les réparations nécessaires à sa conservation ont pu être aussitôt exécutées. Ces travaux furent terminés le 25 avril 1861 : ce jour-là, la messe a été de nouveau célébrée à Sainte-Cécile. Encouragés par des résultats si heureux, nous avons voulu poursuivre notre œuvre et la compléter par l’acquisition d’une cloche. Une nouvelle souscription a été aussitôt ouverte : elle a donné une somme de 1050 Fr. et peu après la cloche a été achetée et posée. Mais nous voulions, Monseigneur, une cloche qui sonnât : depuis cette époque, cependant, notre clocher ne s’est point encore faite entendre. Nous venons, Monseigneur, solliciter de votre grandeur l’autorisation qui est nécessaire à l’accomplissement de nos vœux. Nous vous supplions donc de vouloir bien nous permettre de faire sonner chaque jour l’Angélus à l’église de Sainte Cécile. Et la cloche que nous avons désirée, en nous rappelant l’heure de la prière, réglera aussi nos travaux. Nous ne l’écouterons point sans élever nos pensées vers Dieu et sans songer, en même temps, à celui qui nous aura permis de l’entendre. Nous n’avons pas besoin d’ajouter que cette faveur ne nous fera pas négliger les devoirs religieux que nous ne pouvons remplir qu’à la paroisse, avec le ministère du digne pasteur que vous nous avez choisi. Nous sommes, avec le plus profond respect, Monseigneur, de votre grandeur, les très humbles et très obéissants serviteurs. » Cette pétition fut transmise le 20 décembre 1862 à Monseigneur l’évêque du Mans, par le conseiller général du canton de Château Du Loir, Monsieur Gendron. À première lecture, elle faisait un incontestable honneur aux signataires en témoignant de leur attachement à leur église et de la fidélité de leur sentiment religieux. Malheureusement elle couvrait en dessous, des divisions personnelles locales et elle heurtait de front les habitants de Flée, très opposés à la reconstitution de l’ancienne paroisse de Saint Cécile. La demande, dès lors, fut énergiquement combattue par le curé de Flée, l’abbé Taillandier, et bientôt l’affaire de la cloche de Sainte-Cécile pris des proportions épiques, dignes d’inspirer à Boileau un nouveau chapitre du Lutrin. Les habitants de Sainte-Cécile, cependant, ne se tinrent pas pour battus, ils revinrent de nouveau à la charge avec une telle persévérance que le 4 septembre 1870–date prédestinée pour les révolutions–ils arrachaient au Conseil de Fabrique de Flée une délibération favorable à l’érection de Sainte-Cécile en chapelle de Secours : « Considérant le grand désir des habitants de Sainte-Cécile de voir leur église de plus en plus rendue au culte et leur empressement à s’y rendre lorsqu’on y dit la messe, le Conseil de Fabrique de Flée, par cette délibération, se déclare heureux de s’associer aux vœux légitimes d’une partie notable des habitants de Flée. » Approuvés par le conseil municipal le 6 août 1871, mais retardés par une erreur de procédure administrative, ces vœux reçurent enfin satisfaction l’année suivante. Un décret du 24 décembre 1872 érigea Sainte-Cécile en Chapelle de Secours et autorisa l’acceptation d’un legs de 3000 Fr. fait dès 1858 par Madame de Graslin « pour aider à payer un prêtre chargé de dire la messe dans l’église de Sainte-Cécile. » En 1892, Sainte Cécile et sa cloche demeuraient chères aux muses de la Vallée du Loir, et leur triomphe définitif inspirait la poésie suivante, publiée par Monsieur l’abbé Léon Morancé dans ses Notes et Souvenirs de la Vallée du Loir : Sainte Cécile
Pour atteindre au plateau de la montagne, il faut
Sur le sommet du mont, dans la mousse et dans l’herbe,
Et pourtant à la voir comme nous la voyons
Un cimetière autour sans aucun ornement
Couchés sous les gazons dans le vieux cimetière,
Tout près, dans l’angle obscur de l’étable rustique
L’homme alors que tourmente un éternel souci
Par les beaux soirs d’été, quand le soleil abîme
Les champs, les prés, les bois, le fleuve et le ravin
« J’entrai dans l’église, ajoute l’abbé Morancé… Des oiseaux bientôt m’y suivirent, voletant, caquetant, ce collant aux murs. Tourbillonnant sous la voûte, ils allèrent se jouer autour de l’autel. Deux ou trois se sont abattus sur le bénitier, y ont trempé leur bec et puis tous, comme ils étaient venus, sont repartis ensemble. Il n’est pas rare de les voir ainsi à Sainte-Cécile : plusieurs y habitent et accrochent leurs nids aux pierres de la nef : on les laisse en paix. Lorsqu’il pleut, ils accourent, mais dès que le soleil reparaît dans les vitraux ils regagnent les champs… De sorte que, pendant l’orage, deux frêles créatures entrent souvent à la fois dans la demeure bénie : l’homme pour y faire sa prière, l’oiseau pour attendre que la pluie soit passée et réchauffer les plumes naissantes de ses petits engourdis… »
Réparée en 1885 par la Fabrique qui lui consacra à une somme de 3735 Fr. l’église de Sainte Cécile est encore assez visitée … plus par les touristes que par les pèlerins. En 1899, vingt messes de fondation, quelques messes demandées par les voisins, la messe de la station du mercredi des Rogations, la messe solennelle le 22 novembre, fête de Sainte Cécile et les exercices du mois de Marie les dimanches de mai à 5h y rassemblaient toujours un certain nombre de fidèles. D’autre part le 1er septembre, une cinquantaine de pèlerins venaient y demander des évangiles, en l’honneur de Saint-Gilles (Recherches sur les pèlerinage manceaux).
La Seigneurie et les Seigneurs d’Ourne La seigneurie d’Ourne doit remonter à une époque très ancienne, car la famille qui en porte le nom est mentionnée, dès le commencement du XIIe siècle, dans le Cartulaire de Château du Loir. À cette époque, les premiers seigneurs d’Ourne sont Furgun de Orna, Reginaldus de Orna, Richardus de Orna, Fulco de Orna,« Chevalier vassal de la Châtellenie de Château Du Loir. » Quelques années plus tard apparaît Guillermus de Orna (fin du XIIe siècle- 1214), puis, en 1282 un deuxième Guillaume d’Ourne « chevalier du comte de Dreux. En 1288, ce Guillaume d’Ourne, chevalier, deuxième du nom, vend à Béatrix de Montfort, comtesse de Dreux, dame de Château du Loir, « une place sise devant le château à Château du Loir, dans laquelle il avait coutume de faire ses gardes et où ladite dame fait bâtir une grande maison. » En 1293, Il rend spécialement hommage à Béatrix de Montfort « pour son hébergement d’Ourne. » À la famille d’Ourne succède, au XIVe siècle, la famille des Vendomoys, représentée successivement, en 1342, par Hubert de Vendomoys, qui rend aveu au seigneur de Château du Loir pour la terre d’Ourne ; en 1387 et en 1393, par Jehan de Vendomoys, chevalier, « homme lige de la baronnie de Château Du Loir à cause d’Ourne etc... Cent ans plus tard, la seigneurie d’Ourne est tombée entre les mains d’une nouvelle famille, la famille de Montulais qui possède une littre seigneuriale dans l’église de Sainte-Cécile, et dont un membre, Adrien de Montulais, cité en 1507 est enterré dans le cœur de l’église où son épitaphe, gravée sur cuivre en caractères gothiques, se verra encore en 1684. Au XVIIe siècle, les seigneurs d’Ourne sont déjà de moins noble origine. De 1625 à 1644, Ils s’appellent modestement Léger et Jacques Baudineau et le 27 septembre de cette année 1644, la terre et seigneurie d’Ourne est vendue prosaïquement « pour la somme de 23 000 livres et 300 livres de pot de vin » à Monsieur Léonard Foullé « sieur du Coudray ». C’est alors, en 1646, qu’un arrêt du conseil, préludant à une annexion définitive, ordonne que les meuniers et fermiers de la maison d’Ourne seront compris aux rôles des tailles de la paroisse de Saint Cécile et rayés de ceux de la paroisse de Flée ; mesures que complète, l’année suivante 1647, l’ordonnance de l’évêque du Mans réunissant pour le spirituel la maison d’Ourne à la paroisse de Sainte Cécile. C’est alors aussi–en 1647–que Léonard Foullé entreprend à Ourne la construction d’un nouveau pavillon, mais en dépit de cette « embellissement » la discorde semble surgir entre le seigneur d’Ourne et sa femme, en même temps qu’entre les curés de Flée et de Sainte-Cécile. En 1679, en effet, Léonard Foullé se sépare de biens avec damoiselle Marie de Flexelles, son épouse, et après lui avoir abandonné la paisible jouissance de la terre d’Ourne, se hâte de disparaître … de l’histoire locale tout au moins. Certes, si Léonard Foullé aimait la paix, chère aux bourgeois gentilhommes, il était bien inspiré de quitter ainsi la paroisse de Sainte-Cécile, devenue à cette date le théâtre de deux luttes homériques : lutte entre les curés de Flée et de Sainte Cécile pour le spirituel de la maison d’Ourne ; lutte entre la dame d’Ourne Marie de Flexelles et le prieur de Saint Guingalois de Château du Loir pour la seigneurie de la paroisse. Bien qu’un accord momentané ce soit produit, en 1699, au sujet de la terre de la Michelière, entre Guillaume Foullé, alors seigneur d’Ourne, et François de la Briffe Ponson, prieur de Saint Guingalois, la lutte se prolongera pendant plus de 80 ans et la paix ne sera pas encore rétablie en 1754. Il est vrai qu’au cours de la bataille le seigneur d’Ourne est devenu un haut et puissant personnage. Dès 1694, Messire Hyacinthe Guillaume Foullé est qualifié « chevalier, marquis de Martangis et Prunevaux, seigneur de Doué, Escoué, Ourne, Sainte Cécile et autres lieux, conseiller du Roi en ses conseils, maitre des requêtes ordinaire de son Hôtel et ci-devant son ambassadeur extraordinaire en Danemark ! » Le fils et successeur de cet important personnage, Etienne Foullé, seigneur d’Ourne en 1704, et lui-même chevalier, marquis, conseiller du roi et procureur général en la chambre de la noblesse. En 1764, enfin, le dernier seigneur d’Ourne avant la révolution, Monsieur de Trèves a le bon goût de s’entendre avec les religieux de Marmoutier pour mettre fin à des contestations qui duraient vraiment depuis trop longtemps. Acheté depuis la révolution par Monsieur Voisin, ancien négociant à Château Du Loir, le château d’Ourne est aujourd’hui la propriété de la famille Cavaignac, mais il a été entièrement modernisé et de l’ancien manoir il ne reste qu’une tour ronde et quelques murs d’enceinte (le Général Cavaignac avait acheté Ourne après 1852 il y mourut le 28 octobre 1857). 15 mai 1915 R.Triger
*GLOSSAIRE Définition Fabrique Construction d'un édifice ; il ne se dit guère qu'en parlant d'une église. Un fonds destiné pour la fabrique d'une église paroissiale.
Cartulaire Recueil de chartes contenant la transcription des titres de propriété et privilèges temporels d'une église ou d'un monastère.
Rendre aveu
Et cette définition, avec un sens proche, dans le Dictionnaire de l'Académie française 6ème édition de 1835
Transcription Février 2022, d’après le manuscrit (1915) de Robert Triger, historien, par S.Monthulé, présidente de l’association « Les Amis de Sainte Cécile ». Documents photos des textes des Archives du Diocèse aimablement fournis par Madame Stéphanie Barrioz, Chargée de mission Inventaire du Patrimoine, PETR Pays vallée du Loir en convention avec la Région Pays de la Loire. Date de création : 05/02/2022 @ 09:56 Nous rejoindre
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